« L’esprit de l’île c’est le bien-être qu’on ressent dans cette île, c’est très personnel (…) Porquerolles c’est la plus belle des 3 îles, mais Port-Cros c’est celle que je préfère. » Frédérique Balay
« Je regrette une chose c’est de ne pas avoir enregistré les pêcheurs qui étaient ici, ils racontaient des histoires, c’était merveilleux. Ils avaient une personnalité extraordinaire» Charles Balay
Charles est issu d’une grande famille de soyeux stéphanois, la famille Staron du côté de sa mère, dont la maison est une référence dans le domaine du luxe, des soieries et des rubans qui a séduit les plus grands couturiers.
Son grand-père maternel a découvert Port-Cros dans les années 20. Il venait chasser et pêcher et a cotoyé la communauté littéraire dont s’étaient entourés les Henry. Il a acheté la maison dans laquelle Charles et sa femme Frédérique me reçoivent en 1927. Charles a passé toutes ses vacances depuis qu’il est enfant à Port-Cros.
Frédérique est originaire du sud, ¾ marseillaise, ¼ avignonnaise. Elle a découvert Port-Cros avant de rencontrer Charles, car son grand-père l’amenait séjourner en bateau dans les îles d’or quand elle était enfant.
Ils ont habité tous les 2 Paris, Londres et St Galmier dans la Loire.
Ces dernières années ils partageaient leur temps entre Port-Cros et St Étienne jusqu’au confinement de 2020 qu’ils ont vécu entièrement à Port-Cros.
Avec Charles et Frédérique on a parlé de vacances insulaires, de pêche, de mer, des grandes figures de l’île, et de la vie de village.